samedi 22 mars 2008

MSAIDF VS MOI

LIVRY GARGAN,
Le Dimanche deux MARS deux mille huit,


Val-de-Marne: INSPECTION DU TRAVAIL

PROTECTION JURIDIQUE SOU MEDICAL /MACSF


Madame, Monsieur,

Suite à notre conversation téléphonique je vous fais part de la motivation de ma démarche, c’est à dire de ma demande d’aide juridique.

Je m’enquiers de votre avis avant de m’adresser à l’inspection du travail.

J’ai été embauchée depuis le 17 mai 2006 par la MSA Idf en CDI en qualité de médecin du travail en reconversion.

J’ai bénéficié d’un entretien approfondi auprès de PNL CONSULTANT , PARIS, FEVRIER 2006.

Ma période d’essai de six mois a bien été validée par le Docteur Yves COSSET pendant son accession au poste de médecin chef du service SST MSA Idf.

Il n’y a pas eu de visite d’embauche .

L’accès AUX EQUIPEMENTS DE PROTECTION INDIVIDUELLE m’a été bloqué par deux fois et deux méthodes différentes par le DOCTEUR YVES COSSET MEDECIN CHEF SERVICE SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL MSA IDF POSTE SUR GENTILLY.

Je suis tombée GRAVEMENT malade pendant ma période d’essai le 07 07 2006, un mi-temps au titre d’un temps partiel thérapeutique qui m’a été accordé le 03 08 2006 après une période de trois semaines d’arrêt maladie temps plein.


J’ai entrepris une demande de reconnaissance travailleur handicapé à la Maison Départemental de la Personne Handicapée de la Seine Saint Denis en date du 07 01 2007, dont j’ai reçu l’accusé de réception et la notification de cette reconnaissance.

Les affections dont je souffre toujours s’inscrivent actuellement dans le cadre d’une affection longue durée de la sécurité sociale.

A noter, j’appartiens au Régime Agricole de la Sécurité Sociale.


Le cœur de l’histoire est le suivant :

Mon employeur :

me harcèle depuis mon embauche sur différents plans et par des moyens très codifiés chez les « employeurs harceleurs » :

( Cf. , TRAVAUX DU DOCTEUR MARIE-France HIRIGOYEN)

C’est pourquoi, déjà malade de leurs pratiques incessantes, excédée, j’écris entre deux périodes de stage sur Tours :

LIVRY GARGAN LE 13 JANVIER 2007

Cher Yves,
Tout d'abord je me dois de te remercier pour tous les efforts que tu fournis pour améliorer nos conditions de travail.
Dans cette veine, j'y mets mon grain de sel.
C'est en qualité de nouveau médecin du travail en reconversion professionnelle que je parle.
Je remercie tous mes nouveaux collaborateurs de la SST pour leur accueil.
Je suis ravie d'exercer ces nouvelles fonctions que me comblent intellectuellement.

Pourtant, je rencontre, depuis mon arrivée, des barrages à l'expension pleine et entière des mes compétences.

Ces barrages sont situés au niveau d'un manque de circulation d'informations qui me sont nécessaires.

Aussi, après plusieurs tentatives de concertations avortées, je me heurte aux préjugés des certains de mes collaborateurs très proches.

Ces préjugés portent sur mon arrivée dans l'équipe, qui leur pose fortement problème.

Ils se traduisent à mon encontre, outre le blocage des informations et de communication, d'actes de ségrégation et d'aggression verbale à type d'injonctions : " Tu dois être vonlontaire" me rétorque sèchement Mlle A. TRAN quand je lui soumets un projet de travail en équipe dans le cadre du Schéma SST 2006-2010.

Dr D.HAMON ne communique pas, non plus depuis mon arrivée.

Mme C.CAILLARD est enclin au travail à " là va comme je te pousse".

En conclusion, je suis très déçue de mes conditions de travail, qui reposent sur quelques personnes mal attentionnées, mais aussi, et là je le place dans une autre perspective, en tant qu'intellectuelle engagée et sachante responsable, dans le sens où tout ce traffic d'influence retentit aussi sur le fonctionnement du service SST et de ses missions et a forciori à la MSA.

Je suis donc prête à porter ces informations à l'inspection du travail si ces agissements ne cessent pas immédiatement, pour faire valoir mes droits car au grand regret de mes détracteurs : " Je ne démissionnerai pas!" comme l'on fait déjà mes prédécesseurs.

DOCTEUR CORINE PECHBERTY

se sentant menacé et afin de tuer toutes possibilités de recourir à un système défensif et dont à mes droits de salarié de droit public,

par peur que je me retourne pour le motif suivant :

« Mon employeur, la Mutualité Sociale Agricole d’Ile de France, m’a exigé et obligé de travailler à temps plein pendant une période d’ arrêt maladie ».

NB : En effet, étant en reconversion professionnelle de médecin généraliste à médecin du travail du régime agricole de la sécurité sociale, j’ai été amenée à suivre la formation qualifiante et diplômante de l’Institut National de Médecine Agricole sur Tours.
Dates de ces périodes :

Dates pendant lesquelles j’étais en arrêt maladie, en mi-temps thérapeutique.

Le 26 janvier 2007,en stage de formation sur TOURS, je rentre de toute urgence sur Paris à l’hôpital Jean Verdier, mon état de santé s’étant brutalement aggravé.

Je suis arrêtée en maladie temps plein depuis lors.

La pression du harcèlement va alors crescendo;

Mon employeur me signifie alors que :

non seulement je ne bénéficie pas de mon droit à la prorogation, selon les conventions collectives en vigueur,

_mais encore, qu’il compte ne plus rien me verser en indemnités journalières à compter du 03 02 2007,

pour insuffisances d’heures travaillées.

( Cf. Notification de refus prise en charge d’indemnités journalières)

_de plus mes indemnités journalières ne m’ont été versées que sur la période du 07 Juillet 2006 au 31 Octobre 2006 puis stoppées en raison d’un mot clé que mon médecin traitant aurait oublié de spécifier : « temps partiel thérapeutique ».

_Après moult démarches et batailles et grâce à l’intervention de Madame Nicole BENTOLLILA, assistante sociale de la MSA Idf sur GENTILLY :

_une avance sur mon dû m’a été accordée qu’en Avril 2007 ;

_Avance qui m’a été reprise par la suite.

_Je prends donc RDV avec le Docteur Pierre HECQUART, chef du service Médecin Conseil, MSA Idf, en Juin 2007 sur GENTILLY, mes indemnités journalières sont enfin débloquées.

Etc …

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